« Prendre notre temps » Vraiment, comment pouvait-il mentionner un concept pareil en venant s'agripper à moi de la sorte? À croire qu’il n’avait pas du tout la même définition que moi sur ce fameux “prendre notre temps”. Sans compter que les choses étaient plutôt claires depuis un moment déjà. Autant lui que moi, nous portons un intérêt envers l’autre. Et les tensions s’apparentant à des montagnes russes. On monte, grimpe tranquillement jusqu’à atteindre le sommet avant qu’un finisse par flancher -on descend, relâchant la tension- pour ensuite la faire remonter en flèche. Je me sens comme si nous étions sur le point d’arriver à la deuxième pente.
- Faudra voir ce que tu entends par là, parce que je peux te garantir que cet option me semble dur à considérer.
Et complètement ironique en repensant encore à la situation. Mais le jeu vidéo sauve la mise. J’étouffe un rire lorsqu’il mentionne que même les idiots peuvent y jouer. Je peux en conclure que même ceux n’ayant jamais touché à une manette de console de leur vie parviennent à comprendre le fonctionnement. Et les jeux de courses se ressemblent tous aussi à un certain niveau. La seule différence c’est que j’ai l’habitude aux configurations de Playstation et non de Nintendo. Mais je voulais bien tenter le coup. Et si par chance j’arrive à finir premier, j’aimerais bien voir son expression à ce moment précis.
Cependant en souhaitant me diriger vers le sofa -puisque le choix du jeu était maintenant réglé-, je sens mon hôte me saisir le corps. Je sens le centre de gravité bougé. Par réflexe, je passe un bras autour de la taille du blond -posant ma main dans son dos- tout en solidifiant mes jambes.
- T’es correct?
J’ignore s’il avait eu besoin que je le retienne, mais je préférais jouer sur la sécurité. Mais la seule chose qui s'ensuit à ma question sur le coup fut de le voir s'approcher de mon visage. La distance qui s'écourte entre nous... sans prendre la peine de réfléchir davantage, je comble le vide en venant l'embrasser, voyant qu'il éfait bien sur le point de le faire, sa lenteur... mon corps voulu écourter la torture. Mon cœur qui commence à s’emballer à nouveau alors que ma main qui se trouvait dans son dos finit par remonter le long de sa colonne vertébrale jusqu’à arriver à sa nuque. Je finis par mettre fin au baiser avant de venir apposer mon front sur son épaule.
- Je viens de te dire de ne pas jouer avec le feu… murmurais-je.
Ma limite atteinte, je viens déposer mes lèvres sur la peau de son cou. Ma main libre se glisse sous son chandail alors que je poursuis les marques d’affection au niveau de sa nuque, souhaitant en découvrir davantage.
clubs : single people, university of portland, portland worker.
Sujet: Re: Second date.. First real date ? // Liam. Mar 22 Mar - 18:40
Second date.. First real date ?
Je voudrais bien prendre mon temps, j'ai essayé avec ce défi débile, mais pas même une heure et j'avais flanché, alors prendre son temps était sûrement impossible, bien que j'avais énoncé l’idée, je me mit à en rire aussitôt ni croyant pas une seconde. À voir le visage du brun, lui non plus n’y croyait pas une seule seconde, sa phrase confirmait mes pensées, dur à considérer. Il devait lui aussi se trouver dans le même état que moi, impatient, bon sang, lui et moi sautons tellement d’étape dans cette relation, si relation il allait avoir. Je me mis à reculer, ne voulant pas plus tenter le diable, mais dans mon énervement j’ai oublié un léger détail. La table à café du salon, comment je peux oublier un meuble qui est présent dans cette pièce depuis le début ! Ayant reculé de dos, ma jambe frappa le bord en bois, me faisant perdre l’équilibre, ma main se tend vers l’avant et attrape la seule chose possible. Liam, j’avais attrapé son bras sentant sa propre main dans mon dos, me remontant vers lui. Mon souffle se coupe dans ma gorge, le voyant à nouveau si près de moi, je ne peux que confirmer que je vais d’un hochement de tête, la main qui avait élu domicile sur son bras, finit son chemin dans son dos, voulant lui laisser de l’espace pour bouger, je ne fis que me rapprocher d’avantage de lui. Mes yeux, fixait son regard, faisant le chemin de ses yeux à ses lèvres, les voulant à nouveau sans savoir si je le pouvais. Mon tourment mental ne dura que quelques secondes, sentant les lèvres du brun sur les miennes, il avait comblé cette distance entre nous, nos souffles se mélangeaient pour la seconde fois de la soirée, sa main parcourait ma colonne et me donnait le plus merveilleux des frissons. Les yeux fermés, je dus m’empêcher de grogné mon mécontentement lorsqu’il se décolla pour apposer sa tête sur mon épaule, ma main jouant sur sa nuque à la lisière de ses cheveux, je tentait moi aussi de reprendre mon souffle. C’est avec peine que je compris la phrase murmurer.
Crois- moi je ne fais pas exprès.
Et c'était vrai, certes je cherchais sa compagnie, à le coller, mais de là à flirter, c’était tout du naturel, je ne me forçait pas avec lui. Main main sur sa nuque jouait avec sa peau, doucement du bout des doigts jusqu’à figer, je venais de sentir ses lèvres embrasser la fine peau de mon coup et sa main remonter mon chandail, mes yeux se fermaient de plaisir et ma tête se poussa d’un côté pour lui laisser tout l’espace possible. J’aimais bien ce nouveau Liam, mais mon corps réclamait plus, je remontais son visage sur le mien, écrasant avec envie ma bouche sur la sienne, ma langue allant lécher ses lèvres demandant l’accès à sa bouche. Mes pieds bougent d’eux même, le poussant vers le canapé, mes mains allèrent à leur tour chercher la limite de son haut, le remontant afin de sentir à mon tour sa peau sous la mienne. Plus que deux pas et nous nous retrouvions écrasé sur le sofa, mon propre corps sur le sien, nos deux hanches se rencontrant sur la descente, je lâchais ce grognement que je retenais, mais cette fois sous le plaisir. Manquant de souffle, respirant plus vite que jamais, je me décollais à peine de sa bouche, mon regard captant le sien.
Liam…
Un seul mot, murmuré, seulement qui put sortir de ma bouche en ce moment-là, son regard m'électrifiant sur place.
S’en était trop pour moi. Ce professeur ne m’avait même pas laissé le temps de calmer mes pulsions, que ce dernier attisait de nouveau ma patience -qui avait fini par céder aussi au final-. Malgré mon avertissement, celui-ci m’avait répondu qu’il ne faisait pas exprès. S’il disait vrai, je n'ose même pas imaginer dans quelle situation nous serions présentement. Mais tout ce qui m’importe en ce moment était de goûter à sa peau, de le sentir près de moi. C’était sur un coup de tête -mélanger à une envie impulsive- que j’avais franchi une autre limite. C’est après quelques secondes que je me rends compte de mon agissement et que je ralentis un peu la cadence. Même si je lui avais fait part de ne pas jouer avec le feu et que j’avais laissé sous-entendre que si ça se poursuivait, il pourrait y avoir des conséquences… me voilà un peu trop loin dans mes agissements sans pour autant savoir si j’avais le consentement de mon hôte.
Même si les baisers recevaient toujours un accueil positif -j'appréciais particulièrement la sensation de ses doigts sur ma nuque-, ça ne donnait pas l’autorisation à ce que je m’aventure plus loin ainsi… Dans mon hésitation, je sens l’ouverture s’agrandir. Dans le doute, j’appose au moins un dernier baiser juste en dessous de son oreille -un recoin maintenant plus accessible-. Mais le blond m’arrête, redressant mon visage pour être vis-à-vis du sien. En bout de ligne, avais-je été justement trop loin? Cette question n’a même pas eu la chance de franchir mes lèvres. Celles-ci furent scellées avec celles de l’enseignant. Un sourire s’y installe, chassant au passage mes précédentes inquiétudes, avant d’y laisser une ouverture. Suite à une inspiration un peu difficile, ma langue vient s’entremêler avec celle fougueuse alors que mes paupières s'abattent sur mes yeux.
Je recule d’un pas, puis de deux, Mathias m’y obligeant alors que je n’avais aucune idée de ce qui se trouvait derrière moi. Je n’avais aucune conviction de m’éloigner -aussi court le moment serait- pour m’assurer que rien ne vient barrer ma route à reculons. Préférant lui faire confiance un moment. Malgré que… devrais-je apporter ma foi au propriétaire des lieux qui avait lui-même trébuché sur un de ses meubles de salon? Avant de me résoudre à peut-être jeter un œil dans la direction qu’il me forçait à aller, mon corps bascule vers l’arrière avant qu’il soit réceptionné par le sofa, mais pris au piège à présent par le blond sur ma personne. Mon rythme cardiaque battant probablement des records en ce moment. J’enlace le corps collé au mien jusqu’à ce que nos lèvres finissent par se séparer, voyant les yeux bleus se plonger dans les miens un instant. Entendre dans son souffle mon prénom… Jamais ça ne m’avait fait perdre la tête autant -et faire réagir mon membre sous la ceinture aussi positivement-. Je l’embrasse un court moment, sans pour autant vouloir briser mon étreinte sur lui. Je laisse retomber ma tête sur le coussin du meuble.
- Toujours envie de jouer à Mario Kart? lançais-je en rigolant et qui me permettait de sonder un peu les pensées du professeur.
clubs : single people, university of portland, portland worker.
Sujet: Re: Second date.. First real date ? // Liam. Jeu 24 Mar - 21:33
Second date.. First real date ?
C’était tellement vrai en plus, pour une fois, face à quelqu’un qui m’intéressait, je ne me sentais pas obligé de jouer un rôle, j’étais seulement moi-même et cela ne semblait aucunement lui déplaire. Bon certes, je jouais un peu, cherchant sa compagnie, cherchant à le coller, mais ce n’était pas un rôle en tant que tel, je le voulais. Pour la peine, lui aussi puisqu’il combla le peu de distance restante entre nous, distance que j’avais laissé afin de lui donner un peu d’espace. Ses mains sur mon dos, me firent frissonner, ses baisers dans mon cou me faisaient fermer les yeux, mon épiderme en demandait aussitôt un peu plus et ma tête se penche du sens opposé à sa bouche lui laissant le libre accès. Nos deux corps finirent par se séparer un moindrement, le temps que mes yeux captent les siens et que je puisses y lire le doute, surement à savoir si ce qui se passait n’était pas trop vite, trop tôt, ma phrase de ‘’on prend notre temps’’ avait surement semer la graine dans son esprit. Je ne lui laissa pas le temps de poser la question que je repris possession de sa bouche, cette fois un peu plus fougueusement qu’au début.
Voyant qu’il répondait positivement à ma demande de partage de salive, au fait que ma langue puisse finalement goûter la sienne, je me mis à le pousser doucement vers le canapé, j’aime bien me trouver coller debout sur son corps, mais pour ce que mon corps réclame, nous avons besoin de se retrouver en position horizontale. Le jeu quittant ma main pour se retrouver sur la table qui avait provoqué cet échange, je nous laissais tomber sur mon sofa. Dans la chute nos hanches se collent ce qui me fit gémir doucement, mes mains se mirent à parcourir son torse, descendant vers la lisière de sa ceinture, je passais sous son chandail, touchant finalement la peau chaude et douce de cet homme.
Par manque d’air, je dus nous décoller, fixant son regard surement autant embué de désir que le mien, j’aurais voulut dire quelque chose, mais le seul mot qui sortie gravement de ma bouche fut son prénom, ce qui eu sont effet, puisque je le sentis réagir contre mon membre. Ce qui me donne envie de recommencer à l’embrasser, mais ce que j’obtiens de lui ne fut qu’un court baiser de ses lèvres contre les miennes. Ma mains va se perdre dans ses cheveux, tandis qu’il couche sa tête sur le coussin du meuble, un sourire se fend sur mon visage en le voyant faire, j’ai cette envie de me pencher et de l’embrasser à mon tour, mais je suis couper par sa bouche qui se met à parler. Jouer au jeu.. J’avais complètement oublié.
On avait dit qu’on allait jouer non.
Je me redresse donc en position assise, je suis certain qu’il n’a pas du tout envie non plus, mais le programme est le programme. Je prend donc le boitier en main et commence à l’ouvrir.
Chaque seconde, je tente bien que mal d’en savourer le moment présent, mais mon esprit vagabondait d’un endroit à l’autre. Un moment, tentant de comprendre ce qui se passait, l’autre d’après de simplement apprécier les sensations que le blond me fait ressentir. La chute sur le sofa m’avait bien surpris, mais il y eut plus de peur que de mal -en fait plus de plaisir-. L’avoir sur moi, sentir ses mains baladeuses sous mon chandail qui descendaient dangereusement vers une nouvelle zone… mais je n’avais aucune intention de l’en empêcher, car chaque centimètre explorer par mon assaillant me procure un frisson le long de ma colonne vertébrale. Chaque mouvement effectué par lui me donnait envie de plus. Ce fut quasi un supplice de sentir ses lèvres s’éloigner des miennes. Même si ma vision est bonne, mon cerveau ne focalise pas -probablement trop occupé à gérer mes pulsions du moment et à retenir mon mécontentement-. Bien que la suite des choses fut plus que plaisante, mais trop courte. Mon prénom prononcé par le blond fait réagir mon corps, même plus que je ne l’aurai cru et qui vient embrumer davantage mes pensées. C’était d’un mouvement rapide que je l’embrasse avant de donner à mon cou un petit repos pour ensuite lui lancer une petite blague sur le fait qu’on avait pourtant prévu quelque chose, mais qu’on avait vite dévié.
Chose que je regrette immédiatement. J’aurai dû la fermer. Il prenait vraiment en considération ce que je venais de mentionner alors que c’était seulement dans un but de détendre un peu mes pulsions et surtout de le taquiner. Mais le fait qu’il se redresse… Je ne le retiens pas, pensant qu’il ne faisait que continuer ma blague, mais lorsqu’il reprend possession du boîtier, je relève le haut de mon corps, lui volant le jeu au passage alors qu’il l’ouvrait. Sans prendre la peine de refermer complètement le contenant, je le remets sur la table du salon, assez loin pour qu’il ne puisse pas le reprendre sans s’étirer un minimum -et qui me donnerait le temps de réagir-.
- Je n’ai pas envie de jouer à un jeu où je finirai toujours perdant… lui avouais-je en me laissant retomber sur le sofa.
Ça ne servait à rien de me voiler la face. Bien que j’aime les jeux vidéo et que j’arriverais probablement à me débrouiller, ça reste un jeu de course -qui est loin d’être le genre auquel je joue habituellement-. Et on ajoute à ça le fait que je n’y ai jamais joué alors que mon adversaire oui, le dénouement est plus que prévisible! Sans compter que je n’aime pas particulièrement perdre… J’étire mes bras dans l’espoir d’atteindre le corps de Mathias, mais je dus me redresser légèrement pour attraper le chandail porté par le blond. Je tire délicatement sur le tissu pour lui faire comprendre mon envie qu’il revienne sur moi. Je voulais ressentir sa chaleur à nouveau.
- Je préfère poursuivre ce jeu où j’en sortirai gagnant, dis-je en faisant référence à nos précédents échanges physiques.
Je me mords la lèvre inférieure tout en continuant de l’emmener vers ma personne. Et puis, je ne considère pas qu’il y aura de réel perdant en bout de ligne si on continue ce jeu. C’est même un miracle que Vella me laisse tranquille depuis que je suis ici…
clubs : single people, university of portland, portland worker.
Sujet: Re: Second date.. First real date ? // Liam. Dim 27 Mar - 20:28
Second date.. First real date ?
Franchement qui pouvait bien vouloir continuer à jouer au jeu vidéo lorsqu’il y avait plus intéressant sous lui, littéralement sous lui. Mais il avait arrêté de l’embrasser, avait essayé de reprendre ses esprits en prononçant son nom et il avait sentit l’effet que cela avait créé entre eux. Peut-être que Liam essayait lui aussi à se calmer en rigolant sur le fait qu’ils allaient jouer à ce stupide jeu et lui idiot comme il était avait embarquer dans la blague, se décollant du brun en prenant le boitier en main. Il avait vu la déception sur le visage de son futur amant et s’en amusait un peu. C’est clair que même lui ne voulait plus jouer a rien d’autre que de découvrir le corps de celui qui lui fait tourner la tête en ce moment.
Mathias avait dû se retenir de rire face aux dires du brun, tiens monsieur était donc mauvais perdant, une nouvelle chose à apprendre. Le blond était rendu a contempler le boitier, il lisait plus ou moins ce qui était écrit derrière, comme chaque fois qu’il perd la notion des choses. Il sentit son chandail être tiré sur le côté, signe qu’il était en demande. Déposant ce qu’il avait entre ses mains, il essaya de résister un peu en souriant.
Qui te dit que tu seras gagnant, peut-être que je ne veux pas te laisser le dessus.
Au lit, il n’avait jamais vraiment statuer sur sa position, il y allait au feeling sur ce qu’il ressentait le moment venu. Finalement il céda à la tentation, reprenant sa place au-dessus du corps chaud de l’autre homme.
On est impatient ?
Il murmurait cette phrase juste avant de reprendre possession des lèvres de Liam, reprenant là où ils avaient arrêté dans leur découverte. Un de ses bras plia sur le coussin du sofa l’empêchant de tomber complètement, tandis que son autre main passa sous le chandail du brun, glissant doucement sur la peau de son ventre. Sa bouche se décollant des lèvres descendit vers l’oreilles, l’a mordillant doucement, il jouait de ses dents sur le lobe, aimant les bruits qu’il provoque. Sa main remonta vers le haut, faisant suivre le chandail, ses doigts jouaient avec les bouts de chair qui pointent, passant ses ongles dessus.
Je projette mes yeux en direction du plafond alors que petit à petit, un sourire vient s’immiscer sur mon visage. Sans qu’il ne disparaisse, mes dents viennent pincer ma lèvre inférieure un court instant. De la manière que le professeur s’exprime, ça sonnait tel un nouveau jeu à mes oreilles, un nouveau défi -bien que je ne sois pas certain que ça soit son intention-.
- Je n’aurai qu’à te menotter pour prendre le dessus… soufflais-je entre les dents.
Et ce n’était pas comme s’ils étaient bien loin ces anneaux rétractables en métal. Ils reposent au fond de mon sac à dos qui était resté dans l’entrée. Mais en ce moment présent, je n’avais pas du tout la conviction d’aller les chercher. Sans compter que dans les faits, autant une position que l’autre emmenait son lot de plaisir. Rien n’empêchait aussi d’alterner si l’envie se présentait. Aucun de nous deux n’étaient figés dans un rôle. Mais avec sa précédente phrase, j’avais soudainement le désir de voir le blond sous ma personne… Impatient? Il faisait bien tout pour me rendre impatient…! En fait, à partir de quel moment j’étais devenu celui qui réclamait aussi directement son attention? Depuis que je l’avais rejoint à son lieu de travail, certes je l’avais quelque peu provoquer et susciter son intérêt pour le voir craquer et c’était plaisant de le voir résister aussi bien que mal. Le voir succomber un court laps de temps jusqu’à ce qu’il se résigne à la dernière seconde… Mais à présent, j’avais l’impression d’être celui qui court après l’autre dans l’ultime but d’avoir ce dont je désirais.
J'aurais souhaité répliquer, mais mes lèvres furent prises d’assaut et rapidement je me retrouvais à nouveau pris au piège sous son corps. Je ferme les yeux alors qu’un frisson me traverse le corps dès que mes nerfs nerveux sentent sa main se glisser sur ma peau. Par réflexe, j’entoure son torse de mes bras alors qu’il abandonne ma bouche. Plus fort que moi, je ne peux retenir les gémissements. Mon cœur s’emballe. Mes mains dans son dos agrippent fermement le tissu de son chandail. Vraiment, il ne m'était plus possible de faire marche arrière maintenant… Je soulève mon bassin pour venir le coller à celui de mon tortionnaire du moment, mais l’espace restreint du sofa rendait difficile le mouvement -ne voulant pas faire basculer mon hôte dans le vide-.
- On n’est pas trop à l’étroit, tu trouves? murmurais-je à son oreille.
clubs : single people, university of portland, portland worker.
Sujet: Re: Second date.. First real date ? // Liam. Mar 29 Mar - 20:00
Second date.. First real date ?
Un frisson le parcourut à la mention des menottes, l’image de l’autre attachée à un lit devant subir ses tortures fit réagir son envie qu’il sentit être vraiment à l’étroit dans son pantalon. Il aurait pus ignorer le brun tirant sur son chandail pour le faire revenir à lui, il aurait pus continuer cette mauvaise blague et le faire encore plus supplier ou le bouder, mais la dernière image mentale qu’il venait d’avoir avait eu raison de lui. Il suivit donc le mouvement du bout de tissus tirer sur le côté et fonça sur les lèvres tentatrices du policier. Il l’embrassa comme si demain n’existait pas, introduisant sa langue dans la bouche de son amant, c’était si chaud, il s’amusait de sa langue sur sa jumelle, lâchant des soupirs plaisirs entre leur bouche. Sa main allant découvrir la peau chaude du brun sous lui, levant le chandail pour avoir plus d’accès jusqu’à trouver ce qu’il désirait. C’est bouts de chair qui pointent, attendant qu’on s’occupe d’eux aussi. Il griffa légèrement avant de pincer le petits bouts, il sentit son amant lever le bassin et il répondit d’une douce poussé leur deux membres bien durci se collant l’un sur l’autre.
Sont point ce sera sur le coussin du canapé lorsqu’il sentit que son futur amant était aussi excitée que lui. Il voulut l’embrasser à nouveau mais le brun en décida autrement en le coupant disant qu’ils étaient un peu coincés sur ce canapé, Mathias n’en fut pas du tout dérangé, il aimait cette proximité en fait. Mathias sourit, prenant en main, une des jambes du brun qu’il passe autour de ses hanches et l’autre dans le dos de son amant et il tira vers l’arrière suivant le mouvement de son corps. Il ne sait comment il réussit à faire ça, mais le bun se retrouva assis sur ses hanches, le visage tout près du sien, il avait accès à cette bouche qu'il ne se priva pas pour découvrir à nouveau.
Voilà monsieur, tu peux bouger comme tu veux.
Il avait murmurer tout en le regardant dans les yeux, c’est vrai que maintenant qu’il avait le brun sur lui, il aimait particulièrement le moment.
Ma respiration devient de plus en plus saccadée au fil des interactions avec le professeur. Mon esprit s’embrouille, signe que je commençais à perdre la tête et à laisser mes pulsions prendre le dessus -malgré les quelques pauses qu’on tentait maladroitement de faire-. Mais dès qu’il revient à la charge, c’était comme si les -peu- d’efforts déployés pour garder un minimum de contrôle venaient de s’envoler. Le contact sous la ceinture m’achève. Je le serre encore plus fort entre mes bras, maudissant au passage ces couches de vêtements qui atténuent les sensations. Je n’ai qu’une seule envie; lui arracher les vêtements. Mais sur ce sofa, mes mouvements restent limités… C’est pour cette raison que je lui fais la remarque, cependant je m’attendais plutôt à ce qu’il propose de changer de pièce. De s’installer plutôt dans sa chambre pour avoir plus d’espace, que ça soit plus aisé de lui enlever ses couches de tissus qui étaient en trop sur sa peau. Mais il me redresse sur lui. On échange un énième baiser dont je prends plaisir à savourer, faufilant une de mes mains sur sa nuque pour qu’il y reste.
Je ris à sa phrase tout en déposant mon front contre le sien, soutenant son regard. Mes yeux qui finissent par se perdre dans les siens un court moment, découvrant les différentes nuances de bleus qui s’y trouvent. Le souffle court, mes lèvres vont à la rencontre de celles qui se trouvent à proximité, comme si elles n’en n’avaient toujours pas eu assez. Ma main libère le cou du blond et vient tranquillement tirer le chandail vers le haut. Je prends une légère distance juste le moment de retirer complètement le haut et d’étendre le morceau de vêtement sur le dossier du canapé. De cette manière, je n’aurai plus ce bout de tissus dans les pattes. Avant de revenir goûter à sa bouche, je me permets un court moment pour contempler son corps. C’était drôle de me dire que ce n’était pas la première fois que mon regard se posait sur sa personne dans cet état… Mais cette fois, c’était tout différent. Cette fois, je souhaitais en découvrir plus. Je viens coller mon corps au sien en faisant perdurer le baiser, l’obligeant à se pencher jusqu’à se retrouver étaler sur le dos, ma personne sur lui.
- Je te veux, Mathias… chuchotais-je avant de descendre lentement le long de son cou, goûtant à chaque parcelle de peau se trouvant sur mon chemin.
Je glisse une main le long de son torse, traversant son ventre jusqu’à me retrouver devant l’obstacle de la ceinture. Je ne demande point son autorisation que je commence déjà à l’enlever pour me permettre de poursuivre ma route sous son pantalon.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Second date.. First real date ? // Liam.