(curtis) close it up and be my reason

curtis reyes
"we were links in a beat-up chain "
rome flynn | love actually

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age : vingt-neuf ans. date et lieu de naissance : six mai 1992, à Seattle.
job ou études : coach de boxe, t’étais un boxeur à l'avenir prometteur mais la naissance de ta fille t’a poussé à mettre fin prématurément à ta carrière. adresse : sur union street, dans un joli duplex dans lequel tu vis avec ta fille, Nyla.

(5 informations importantes au sujet de ton personnage)
• gamin appliqué, t’avais pas le choix avec une mère qui veillait à ce que tes devoirs soient bien faits. sans être un excellent élève, tu te donnais de la peine pour réussir mais tes professeurs n’y ont jamais prêté réellement attention, peut-être parce que t’étais pas aussi bon que les premiers de la classe, ou simplement parce que ton métissage ne semblait pas avoir un franc succès. alors à défaut de pouvoir faire tes preuves sur papier, tu as appris à les faire avec tes poings lorsque t’as découvert la boxe pour la première fois alors que t’avais douze ans. contre toute attente, c’est ta mère qui t’a inscrit dans un centre de Seattle pour apprendre les bases et faire naître en toi une passion qui circule aujourd’hui encore dans tes veines. mais tout n’a pas été simple, parce que t’as peu à peu laissé tomber les cours, les mauvaises notes qui ont commencé à s’accumuler et la colère de ta mère se faire entendre dans tout le quartier. elle cachait tes gants et tout ce qui te permettait de t’entraîner pour te forcer à te poser sur cette chaise et réviser. pendant près de quatre mois, t’es plus retourné à la salle, obligé de faire remonter ta moyenne pour avoir le droit de poser à nouveaux les pieds sur un ring. le chantage, c’était le seul moyen qu’avait ta mère pour que tu obéisses et surtout, elle savait exactement ce qui fonctionnait le mieux sur toi. si aujourd’hui t’es un acharné de travail, c’est parce qu’elle t’a appris à te dépasser dans tout ce que tu entreprends, car tous les efforts que l’on fait finissent toujours par payer tôt ou tard, il suffit d’être patient et de saisir sa chance au bon moment.
• The Shadow, un surnom qui t'a suivi durant quelques années quand ton jeu de jambes foulait encore les rings du pays. Vif et agile, ton talent résidait principalement dans ta capacité à esquiver les coups, le corps qui semblait se mouver sans effort lorsqu'on cherchait à t'assaillir de coups. La frustration adverse se faisait vite ressentir et tu la nourrissais avec un sourire qui laissait apparaître ce protège-dents aux couleurs de tes origines. Adversaire épuisant physiquement, t'étais aussi un briseur de mental, car si la puissance de tes coups n'a jamais impressionné, c'est leur précision et leur capacité à atteindre régulièrement la cible qui donnaient l'impression que tu savais lire le game plan adverse. Provocateur, t'en as jamais trop fait, mais juste assez pour faire sortir certains de leur combat, de saisir l'opportunité de t'immiscer dans une brèche qu'ils laisseraient ouvert une demi-seconde de trop. T'étais un réel talent, tu vivais pour la boxe et tu l'aurais sans doute fait pendant des années si la naissance de ta fille n'était pas venue chambouler ce chemin qui semblait pourtant tout tracé.
• une grossesse sortie de nulle-part au milieu d’une relation qui battait clairement de l’ailes, tous les signaux étaient au rouge. en couple avec une femme dépendante aux drogues dures, t’avais pendant longtemps cherché à la sortir de ce monde dans lequel elle s’était enfermée, t’avais cru y arriver mais elle avait fini par replonger malgré les efforts qu’elle avait fait. la volonté elle l’avait eue, puis elle l'avait perdue parce qu’elle était incapable de gérer sa vie, anxieuse au moindre bouleversement, son seul refuge se trouvait dans cette seringue plutôt que dans tes bras dans lesquels elle finissait par se mettre à chialer une fois les effets estompés. c’est pour ça que tu l’avais incitée à avorter, elle était pas prête à élever un gosse et égoïstement, tu ne voulais pas avoir des obligations en dehors de ta carrière. pendant des semaines t’as cherché à la convaincre mais jamais elle ne t’a écouté. alors quand le grand jour est arrivé, que tu l’as accompagnée à l’hôpital et que t’as vu ta fille voir le jour, les choses ont changé. voir cette enfant prématurée sous couveuse pendant des semaines, ça t’a fait voir les choses différemment. c’est plus ta carrière que tu voyais, mais l’avenir de ce bébé élevé par une mère toxicomane. et au fil des mois, tout est devenu plus évident, parce qu’en voyant la vitesse folle à laquelle ce petit être répondant au doux nom de Nyla grandissait, t’as su que tu serais capable de tout lui donner pour faire de sa vie un véritable conte de fée.
• mettre ta carrière de côté a été plus facile que prévu tant t’as passé de temps avec tes avocats pour réussir à obtenir la garde de ta fille. mais la loi est mal faite et si on parle d’égalité des sexes, les femmes ont toujours eu une longueur d’avance lorsqu’elles se présentaient aux tribunaux. même face à une toxicomane, t’as dû te battre pendant près de deux ans pour monter un dossier suffisamment convaincant sans chercher à vouloir pointer du doigt la vie misérable que menait ton ex. t’as jamais cherché à dire du mal d’elle alors que t’avais une liste longue comme ton bras. seulement tu sais que tout comme toi, elle a toujours aimé ta fille, mais tu la sais aussi fragile et instable, et l’idée d’imaginer ta fille grandir dans un environnement insalubre, c'était impensable. c’est pour ça que lorsque ta fille s’en va le temps d’un week-end chez sa mère, t’es inquiet, nerveux et facilement irritable. pendant un certain temps, t’as participé à quelques combats clandestins pour lâcher des coups qui n’avaient pas sur un ring. t’en as essuyés des coups mais ils te faisaient oublier l’espace d’une soirée l'existence de ta fille, te sentant bien trop coupable à l’idée qu’il puisse lui arriver quelque chose. encore aujourd’hui, ça t’arrive de te retrouver dans ces combats illégaux, mais beaucoup moins souvent, parce que tu sais qu’il peut parfois suffire d’une insulte de trop pour que les choses dégénèrent. mais tu dois admettre que l’adrénaline de ces combats presque sans règle t’anime et te rappelle combien tu aimes faire parler tes poings.
• la trentaine qui approche, ta fille qui grandit, t’as l’impression que le temps défile à une vitesse folle et que tout évolue autour de toi, hormis ta vie. célibataire depuis quelques années, les relations sérieuses et toi, c’est quelque chose qui se fait sur la durée et pas en un claquement de doigt après une soirée comme c’est le cas pour une grande majorité. t’es encore pire qu’à l’époque maintenant que Nyla fait partie de ta vie, tu cherches pas seulement une femme qui puisse te plaire, mais qui puisse aimer autant ta fille que toi. parfois c’est un sujet délicat avec certains rencards, certaines ne voient pas le problème, elles sont enthousiastes à cette idée, parfois même un peu trop à ton goût. et puis il y a celles qui se sentent trop jeunes pour ce genre de relation, ça rend les choses beaucoup trop sérieuses, trop précipitées. mais t’es pas du genre à forcer les choses, et peut-être aussi parce qu’il y a toujours ce sentiment d’inachevé avec cette fille que tu connais depuis quelques années. il ne s’est jamais rien passé, il n’y a jamais eu de rapprochements et pourtant, t’as l’impression qu’entre vous, il en faudrait peu pour qu’une tension se crée, que ce jeu de séduction auquel tu ne l’as jamais confrontée soit lancé au détour d’un regard, d’un sourire ou même d'une provocation. ça pourrait tenir qu’à peu de choses mais Clarke te l’a dit: le cœur de cette fille est pris depuis longtemps déjà et t’as jamais été le genre de mec à t’intéresser à la femme d’un autre: t’as des principes et celui-ci en fait partie.


qui sont tes parents ? : fils d’une femme de ménage d’origine afro-américaine, ton père était un conducteur de locomotives d’origine cubaine. proche de ta mère, tu l’es beaucoup moins de ton paternel, la faute à ses nombreuses absences que t’as longtemps mis sur le dos de son boulot avant de comprendre que ta mère n’était pas la seule femme dans sa vie. une mère qui fait partie intégrante de ton quotidien et qui prend son rôle de grand-mère à cœur.
tu as des enfants ? : ouais, une fille dont t’as réussi à obtenir la garde après t’être battu pendant près de deux ans devant le juge. et dire que lorsque t’as appris que t’allais être père, t’avais songé à pousser ton ex à avorter tandis qu’aujourd’hui, cette gamine a six ans et a su faire exploser cette pierre que t’avais à la place du cœur.
frères et soeurs : aucun d’après ta mère, beaucoup trop fière pour admettre que ton père n’était pas l’homme d’une seule femme. pourtant elle, c’est bien le seul qu’elle ait aimé, aucun n’a su le remplacer.
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tes meilleurs amis : t’as toujours eu du mal avec cette notion de meilleur ami, qu’est-ce qui en fait un meilleur qu’un autre? à tes yeux, ils se valent tous, parce qu’ils te décevront tous au moins une fois.
tu habites avec qui ? : avec ta fille, dans un joli petit duplex dont tu commences à rembourser le prêt, fallait bien que l’argent de tes sponsors à l’époque te servent à quelque chose, à ça et aux futures études de ta fille.
tu as un animal de compagnie ? : non, mais ça ne saurait tarder avec ta fille qui peu à peu arrive à te convaincre d’adopter un chat. pourtant t’as horreur de ces bêtes à poil, mais t’as tellement de difficulté à lui dire non que tu commences à cogiter dessus.
clubs : single people, single parents, fitness club.
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tes amours ? : inexistants, parce que t’es pas un homme qui tombe facilement amoureux, t’as besoin de temps pour aimer une femme, t’as besoin d’apprendre à la connaître pour réellement t’intéresser à elle. il y a des étapes à franchir avant que tu sois prêt à t’engager dans une relation sérieuse et bien souvent, ça ne va pas plus loin que quelques rencards.
tes ex-amours ? : ils n’ont pas été nombreux, parce que t’es pas du genre à laisser une femme s’immiscer dans ta vie. la dernière en date, c’est la mère de ta fille, une histoire qui remonte à plus de cinq ans et depuis c’est le néant.
orientation sexuelle : hétérosexuel, si les crochets de tes adversaires t’ont rarement fait vaciller, les courbes d’une femme ont su parfois te faire perdre pied. délicates dans leur façon de parler, elles ont dans leur regard cette étincelle qui parvient à embraser ce feu dans lequel elles souhaiteraient te voir danser avec elles.
ta première fois ? : t’avais quinze ans à l’époque et ce qui t’a le plus marqué, c’est pas de pouvoir admirer pour la première fois un corps nu sous tes doigts, mais bien la gueule de ta mère lorsqu’elle a ouvert la porte de ta chambre pendant que t’étais en train de faire ta petite affaire.
la dernière fois ? : ça doit remonter à deux ou trois mois, t’avais pensé que ça pourrait déboucher sur quelque chose de sérieux mais ça n’aura duré qu’une nuit; le harder daddy qu’elle t’a glissé à l’oreille juste avant de jouir a été rédhibitoire.
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traits de caractère : t’es à l’image du jour et de la nuit, tu peux paraître calme et perdre ton sang-froid la minute d’après. t’es un type avec un bon fond et droit dans ses bottes, mais t’as un putain de caractère et la franchise qui va avec. si on ne parle pas du pouvoir qu’a ta fille sur toi, t’es un mec qui a beaucoup de fierté, t’aimes pas quand on cherche à te marcher dessus, parce que t’as pas froid aux yeux, pas du genre à t’effacer mais plutôt à t’imposer. t’effacer? très peu pour toi, tu vas jamais baisser les yeux devant un type ou te mettre à bégayer, t’as toujours le menton levé vers celui qui tenterait de te prendre de haut. tes problèmes t’es capable de les régler par la parole, parce que t’es bon avec les mots, tu sais les utiliser à bon escient mais il arrive que tes poings viennent conclure tes propos quand on te cherche un peu trop. séducteur dans l’âme, t’enchaines pas pour autant les conquêtes, t’aimes séduire sans forcément conclure, t’aimes le jeu de séduction et cette tension qui se crée au fur et à mesure.
croyant ou non croyant : t’as longtemps été croyant, et puis avec le temps t’as préféré croire en toi plutôt qu’en Dieu, à ne pas avancer grâce à Lui, mais grâce à toi.
problème de santé : aucun et tu ne pourrais pas en dire autant si t’avais continué ta carrière.
complexe : malgré les apparences et cette assurance que tu dégages, t’as l’impression d’être resté bloqué à tes vingt-deux ans, les traits de ton visage pas suffisamment matures, trop lisses et trop doux, pas assez durs à ton goût.

hey macarena !
tes moyens de transport : t’as une moto que tu sors que pour certaines occasions, mais tu dois admettre qu’elle est plus souvent cachée sous une bâche qui traine derrière ce break bien plus adapté quand il est question d’aller chercher ta fille à gauche et à droite.
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signe astro : taureau, t’as ce besoin de stabilité à tous les niveaux, de ne pas t’éparpiller et de perdre le contrôle des choses. irréprochable quand tu te mets à la tâche, tu peux être un homme dévoué pour la femme que t’aimes comme pour le boulot qui te permet d’élever ta fille dans les meilleures conditions possibles.
tes hobbies : en dehors de ta fille et de la boxe, t’es accro au sport de manière générale, t’as ce besoin de te dépenser et de sentir ton corps être dépourvu de toute énergie. t’es ce genre de type qui apprécie aller jusqu’au bout de l’effort, quitte à finir sur les rotules. mais t’apprécies aussi de passer une soirée entre potes de temps en temps, tu restes plutôt sage sur la boisson et ce qu’on peut consommer dans ce genre de soirées, t’es pas du genre à toucher à n’importe quoi. mais il paraît que lorsque t’as un peu trop bu, t’as cette tendance à chanter tout et n’importe quoi et le pire, c’est qu’il paraît que ta voix a un certain effet sur celles qui posent leur regard sur toi.
ton rêve : si on t’avait posé la question il y a dix ans, t’aurais sûrement parlé de gagner la ceinture des poids moyens, de faire parler de toi en prouvant qu’on peut devenir champion en se contentant d’esquiver et de riposter en retour. puis il y a eu ta fille qui est venue balayer ce rêve pour en faire naître un autre, celui de la voir grandir et de réussir à lui offrir l’avenir le plus radieux possible.
tes phobies : tu redoutes sans cesse les week-end où ta fille va retrouver sa mère, ça a le don de te rendre nerveux et à la limite du supportable. même si tu sais que c’est redondant, ta fille a pris une place essentielle dans ta vie et ta mère a beau te rappeler de ne pas vivre que pour elle, t’as du mal à faire autrement.
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dans ton dressing : rien de transcendant, faut dire que tu passes ton temps en tenue de sport avec ton boulot mais à côté de ça, t’es un adepte du combo jean et t-shirt; simple mais efficace. quant aux chemises, tu ne les sors que pour les occasions spéciales ou les beaux yeux d’une femme.
dans ta table de chevet : il y a toujours ton chargeur de téléphone qui y traine, caché sous la première lettre que t’a écrite ta fille avec l’aide de ta mère. tu t’es promis de l’encadrer et de la mettre au milieu de ces photos que toi et ta fille avez commencé à accrocher au mur de sa chambre..
dans ton sac ou tes poches : entre ton téléphone et ton porte-cartes qu'on trouve toujours dans les mêmes poches, t'as parfois le don d'y mettre aussi tes tickets de parking qui te servent de pense-bête quand t'as rien d'autres sous la main.
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android ou ios : iOS, parce que t'y es habitué et t'es pas très ouvert au changement quand t'es bien rodé.
mode : sonnerie.
applications favorites : spotify et instagram.
3 derniers contacts : ta mère, ta voisine un peu trop collante et nova pour la prévenir que t'auras un peu de retard.
réseaux sociaux : t'es uniquement sur instagram, le reste t'intéresse moins.
top 3 artistes spotify : 2pac, dmx et eminem, les trois artistes qui tournent continuellement en boucle dans tes oreilles.
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aime : ta fille évidemment et tout ce qu’elle touche, t’es un vrai papa poule avec elle et elle te rend meilleur, elle est la raison de ce sourire que t’as souvent sur tes lèvres, sourire qui a remplacé un visage fermé, à l’image de ton cœur qui est de pierre. mais en dehors de ça, t’aimes aussi le sport, le sifflement d’un coup de poing qui n’a fait qu’effleurer ta mâchoire, les fous rire que t’es incapable de contrôler ou encore les yeux qu’une femme peut poser sur toi, avec de la difficulté à soutenir ton regard une fois que t’as croisé le sien.
n'aime pas : t’aimes pas les gens indécis et incapables de prendre des décisions, pire encore quand ils ont besoin de l’avis des autres. pour toi, ce sont des gens qui ne sont pas fiables et pas capables de s’affirmer, bien trop influencés par ce qui les entoure. t’aimes quand tout est [i]crystal clear[/i|, les non-dits et toutes ces conneries, très peu pour toi. t’as aussi horreur de ceux qui se servent du pouvoir qu’ils ont sur les autres, de profiter de la faiblesse des gens pour obtenir ce qu’ils veulent, ça te sort par les yeux.
films préférés : là de tête, tu dirais man on fire, mais t'en as plein d'autres qui pourraient faire l'affaire.
séries préférées : actuellement, c'est plutôt les dessins animés auxquels tu as le droit, que ce soit pendant le petit-déjeuner avec ta fille, ou le soir avant d'aller la mettre au lit.
plat favori : tu fais attention à ce que tu manges, mais clairement tu peux pas dire non à un bon vieux burger.
dernier achat : une paire de boucle d'oreilles pour ta fille lorsqu'elle pourra retirer sa paire médicale qu'elle se trimballe depuis qu'elle s'est faite percer chacun de ses lobes.

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cashbackâge : la trentaine se fout bien de ma gueule depuis quelques temps
région : est
où as tu connu le forum : prd
commentaires : aucun si ce n'est que j'ai trop hâte de faire évoluer curtis parmi vous… et avec nova, oui oui oui  
connexions : aléatoire mais régulière