where light in darkness lies -- luz.

luz vaughn
"pink flowers grow from my skin
pepto bismol veins and i grin"
nicola peltz | jingle all the way

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age : vingt-six ans claqués en fumée comme ces billets qu'elle laisse, à sa guise, s'embraser. caprices en vice, princesse hurle du haut de sa tour dans l'espoir - vain - de faire éclater sa bulle dorée. date et lieu de naissance : vingt-trois septembre, portland. sphère fastueuse qui a cueilli ses premiers sanglots, délaissée - trop vite - au profit de ce bourg dont elle a fait son royaume. puisque brille ici ou ailleurs l'empire des vaughn. job ou études : hec pour faire beau sur papier, assouvir les désirs de papa-maman. spécialisation dans l'économie digitale pour vivre avec son temps. mais l'aspiration est toute autre. danseuse étoile s'est muée en comète - le rêve écrasé, brisé. adresse : hood river où trône fièrement la demeure des vaughn. imposante villa au charme contemporain, du sol au plafond l'art y est divin. constamment habitée et pourtant contre les murs résonne la solitude des bien fortunés.

• grâce et délicatesse, agilité et sensibilité. chaque muscle bandé dans l'unicité du mouvement et cette expression du corps en phase avec la musique. luz est née, respire même, pour la danse. une passion dévorante qui lui fait oublier la douleur de ses jointures et tout ce que d'autres prendraient pour de la torture. elle excelle, s'oublie, se délivre de ses chaînes lorsque face au public elle brille. petite étoile filante, cygne qui déploie ses ailes lorsqu'elle trouve enfin la scène. et pour une fois ce qui compte le plus ce n'est pas d'être acclamée, mais cette sensation de liberté.  
• elle a la séparation difficile, la sensation d'abandon facile et la rencoeur coriace. une haine qu'elle n'a jamais masqué envers les parents hansen de lui avoir enlevé les deux seuls êtres auxquels elle est parvenu à s'accrocher. peter et audrey, qu'elle aimera à jamais - malgré la distance, malgré tout ce qui peut se placer en travers de leur chemin. luz, c'est une moule accrochée à son rocher, incapable de les laisser filer. eux, ce trio qu'ils ont rapidement formé. eux, les seuls qui savaient qui elle était. c'est une partie de son myocarde qu'ils ont emporté avec eux - et qu'elle est venue rechercher à la moindre occasion venue. de ses intrusions non prévues aux vacances passées ensemble - on a voulu les éloigner, mais jamais parvenu à les séparer. luz, elle avait ce vide à combler, ce myocarde qui cherchait à s'accrocher. et c'est là qu'elle les a trouvé - eux, ces êtres si semblables et pourtant si différents. son tout, sa seule constante. ces cinq gosses de qui ont appris à la supporter et, d'une certaine manière, à l'aimer. une dépendance affective qu'elle a nourrit malgré elle tout comme sa tendre admiration - muée en obsession - pour ce génie au doigté qui sait si bien la faire vibrer.
• princesse mène une double vie, se perd au détour de ses deux identités. les apparences lissées à la perfection lorsqu'elle foule le marbre de la maison en contraste avec cette déchéance nocturne qui l'embrase autant qu'elle la fume. luz est parfaite - ou fait mine de l'être. elle suit les traces qu'ont a creusé pour elle et s'aventure au delà de sa tanière une fois la lune élevée. la louve garou a soif de liberté, ne désire que s'amuser. se perdre dans le vice quitte à s'y noyer. elle vit dans l'excès la nuit levée et se pare de son plus beau minois jusqu'à ce que le soleil vienne se coucher. et finalement elle ne sait plus, luz, qui de l'ange ou démon elle est vraiment.
• il a merdé, ari, même s'il dira juste qu'il a aimé. gamine engrossée, encore au lycée, forcément que ça n'allait pas passer - d'autant plus lorsque l'on sait d'où vient celle dont il s'est entiché. luz, elle a jamais vraiment craché sur cette relation, tout ce qui comptait c'était que le coeur de son frère fasse des bonds. mais elle ne l'a jamais véritablement accepté non plus, la fierté des bien nés qui ne veut pas voir salir son nom. elle s'est jamais gardée de lui dire combien son potentiel était gâché, combien il pourrait trouver mieux qu'une timide blonde sans personnalité. mais la vérité c'est que luz elle était tout simplement jalouse que son petit frère, lui, parvienne à aimer - et être aimé. au point de se cramer et d'être envoyé en pension. ce secret qu'elle a gardé par pur intérêt - ou désintérêt - malgré son obstination à vouloir connaître sa nièce. elle ne le dira jamais luz, mais elle est reconnaissante envers romy d'avoir su lui ouvrir la porte quand elle avait toutes les raisons de la maintenir fermée. mais continue de rabâcher combien elle est surprise qu'un être aussi merveilleux puisse sortir d'une gosse pareille. elle s'est immiscée dans une historie qui ne le concerne pas, jouant des non-dits et des promesses - qu'elle ne tient pour la plupart pas - en évitant de songer au moment où tout lui retombera dessus.
• elle s'est auto sabotée, luz, s'est faite prendre à son propre jeu. besoin d'attention quand elle était uniquement tournée vers ari, elle a sorti ses plus belles larmes de crocodiles en criant au loup. pierrot des temps modernes, elle a simulé pour que papa-maman la prennent, quelque part, en pitié. ridicule princesse se mange aujourd'hui les conséquences de son geste - prisonnière de son mensonge, c'est affublée d'un garde du corps privé qu'elle doit désormais se pavaner. jamais sans son boulet accroché au pied, elle étouffe de ce manque cruel de liberté - et d'intimité. mais luz s'amuse à les semer, à jouer à cache-cache jusqu'à les faire craquer - et démissionner. plusieurs sont venus sans restés, incapables de la supporter. et dans le fond si elle les déteste tous, il n'y a bien que clarke qu'elle porte malgré elle dans son coeur. de sa langue acérée, de son caractère affirmé, il a titillé son intérêt. il l'a touché parce que pour une fois l'un d'entre eux semblait vraiment s'intéresser, s'inquiéter et pas seulement pour être gracieusement payé. et si elle le rend dingue au possible, qu'il sait la remettre à sa place et la piquer, elle parvient jamais à restée longtemps fâchée. trop attachée sans doute la gamine qui se refuse pourtant à l'avouer. des mots qu'elle ne prononce pas, mais qu'elle marque dans la tendresse de certains gestes et aussi, mais surtout, cette fâcheuse manie de l'appeler à la rescousse.


qui sont tes parents ? : ezra vaughn, ceo de vaughn industries, requin du marcher pétrolier qui se veut à se diversifier - le planning déjà booké, tant pis si le temps consacré aux siens vient à manquer. vera vaughn model a la beauté fanée - ou botoxée. elle se dit conseillère de vie, pour ne pas s'emmerder avec la vie de femme au foyer - et ne vend que des conseils à chier. à eux deux ils forment un cliché ambulant du nanti américain. papa amasse, maman se pavane.
tu as des enfants ? : non. catégorique malgré l'horloge biologique qui devrait la titiller. luz, elle a pas envie de cette responsabilité, de voir son corps changer. elle a pas rencontré le bon qu'on pense. mais elle s'en fiche luz. pas prête à troquer sa beauté juvénile contre un môme qui braille. elle est tata et ça lui va.  
frères et soeurs : un frère, condamné à l'exil. aux abonnés absents depuis trois ans, elle a perdu sa moitié, luz. continue de l'incendier quand il ose filtrer ses appels et dans ses moments de bonté lui conte combien sa gosse est belle.
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tes meilleurs amis : peter, audrey - trio du bac à sable, inséparables malgré la distance et les années qui filent. baby, vic, minnie, eli, alba - auto-proclamés elite, rich kids qui trônent sur leur colline, leur existence n'est que fric et apparence. le faux qu'on leur attribue en contraste de leur amitié vraie.
tu habites avec qui ? : monsieur et madame vaughn, à la présence aussi fluctuante que les éphémérides du paternel. une flopée de domestiques et pourtant la demeure lui paraît si vide depuis le départ d'ari.
tu as un animal de compagnie ? : neige, une golden au poil poudreux qui ne perd pas de sa superbe malgré ses dix ans. encore un caprice de mademoiselle luz - caprice qui leur a coûté une bonne centaine de milliers de dollars de casse.
clubs : university of portland, recreation and entertainment committee, cornelius high school.
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tes amours ? : papillon de nuit, luz se berce des éphémérides qui ne lui offrent qu'un assouvissement caduc de ses pulsions libidineuses. une perdition qu'elle savoure en évasion quand son palpitant porte son nom. des années d'obsession et les prémices de sentiments qui la fracassent. baby qu'elle voudrait parfois voir rimer avec pour la vie jusqu'à ce qu'un autre souille ses draps et qu'elle oublie - qu'elle dit.
tes ex-amours ? : amour désabusé, usé, luz ne sait pas aimer. constamment dans l'excès, elle se donne toute entière et envoie chier le jour d'après. instable au possible, y a bien eu qu'une constante dans sa vie. quelques amourettes sans grande importance, des con(quêtes) d'une nuit surtout.
orientation sexuelle : camée à la testostérone, aux hommes et leurs foutues phéromones. l'ivresse la pousse vers le féminin dans un esprit de provocation, mais elle n'a jamais eu besoin de se poser véritablement la question.
ta première fois ? : seize ans, avec le jardinier, so cliché. mais elle s'en moque luz, c'était qu'une formalité, un cap à passer. elle n'a jamais porter une grande importance à sa virginité. c'était médiocre, mais il était beau et c'est tout ce qui comptait sur le moment - ça et emmerder maman. parce qu'elle a vu ses prunelles qui se perdaient sur son corps, sa paume qui se posaient innocemment sur son épaule. elle a lu le désir dans son regard et s'en est embrasée. et au final c'est elle qui l'a gagné - avant qu'il ne se fasse âprement renvoyé.
la dernière fois ? : un égoïste de plus, trouvé dans un bar. pas son meilleur coup - c'est certain - mais pas le pire. ce serait pas arrivé si c'était clarke qui la surveillait - et elle se demande si elle aurait pas préféré, finalement.  
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traits de caractère : descendance parfaite qui cache des démons, elle sait manipuler son monde pour que tout se fasse à sa façon. refuse d'ailleurs qu'on puisse lui dire non - s'en sent pourtant d'avantage attirée que lorsqu'on est à ses pieds. luz est capricieuse, bornée, égocentrique, lunatique et porte le sarcasme aussi bien qu'un ensemble chanel. insupportable quand on ne sait pas l'apprivoiser, c'est un masque qu'elle offre dans l'optique, inconscient, de se préserver. sous les couches de cold bitch se terre un myocarde à l'innocence juvénile. une affection débordante à qui sait la cueillir et cette tendresse qu'elle ne réserve qu'à l'élite de son coeur - ces privilégiés qu'elle peine à partager. jalouse au possible, possessive par crainte d'être remplaçable et remplacée. elle fait jamais dans la demi-mesure, luz, aime et exècre sans se cacher, sans se réfréner. elle se donne souvent en spectacle parce qu'elle a besoin d'être regardée, contemplée - alors qu'elle se fiche bien de ce qu'on puisse penser d'elle. impassible face aux cancans, seule la critique la pique alors qu'elle même se fait langue de vipère. luz, elle est instable - émotionnellement parlant surtout - se laisse porter par la houle de ses sentiments. un paradoxe à elle seule qui fait d'elle ce mystère qu'on ne résout jamais vraiment - pas même elle, finalement.
croyant ou non croyant : élevée dans la pure tradition catholique, elle arbore l'image proprette lorsqu'on la pousse à se rendre à la messe du dimanche. mais ça fait des années qu'elle ne croit plus en dieu - ou du moins à celui présenté dans les cours de catéchisme. luz, elle se dit que tous les détails de l'univers ne peuvent pas être due au hasard, qu'il existe sans doute une force, quelque chose de plus puissant qu'elle, de physique au sens scientifique du terme. mais elle se refuse à croire qu'une entité anthropomorphique puisse régir son existence.
problème de santé : des crises d'angoisse qu'elle noie dans l'excès. une instabilité émotionnelle qui la dépasse.
complexe : aucun, qu'elle dira. soit parfaite et tais toi.

hey macarena !
tes moyens de transport : une audi qu'elle ne conduit que rarement. luz c'est la banquette arrière qu'elle use le plus. elle se fait conduire, que ce soit par ses garde du corps - ou ses boulets comme elle aime parfois à les nommer - ou le voiturier de maman.
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signe astro : balance, zéro équilibre, incapable de faire des choix.
tes hobbies : la danse, une vocation reléguée au rang de hobbie. un échappatoire lorsque les tourments la noient. petite étoile brille lorsque ses mouvements se font volatiles.
ton rêve : brisé depuis des années sous le joug de parents aux idées arrêtées. la ballerine ne sera pas. jamais. déchue, elle ne rêve plus.
tes phobies : vieillir, mourir sans avoir vécu, qu'on l'oublie, qu'on la remplace. ne pas compter. ne pas exister.
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dans ton dressing : un étalage des plus grandes marques de luxe - des tenues qu'elle n'a porté qu'une fois, d'autres qu'elle ne portera sans doute jamais. un style qui lui est propre oscillant entre la veste en cuir et la robe de soirée. une ribambelle de chaussures et de sac à main - mais ce qu'elle préfère luz, ce sont les lunettes de soleil qu'elle porte été comme hiver.
dans ta table de chevet : son livre en cours, une brume de lit, des huiles essentielles, des gélules, des mouchoirs, des lettres et quelques polaroids, magic mike - pour les nuits en solitaire - un oracle qu'elle n'a pas ouvert depuis des mois, quelques pierres, des capotes et du gel, deux coquillages ramassés sur une plage de la côte d'azur.
dans ton sac ou tes poches : son portable, du baume et un rouge à lèvres, des mouchoirs, un miroir de poche, sa carte bleu, des billets - elle ne saurait dire combien - ses clés, une paire de lunettes de soleil, un briquet, des lingettes. et parfois - un flash, des clopes, des pilules, une culotte de rechange.
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android ou ios : ios, changé à chaque nouvelle version.
mode : sonnerie, la plupart du temps. volume à fond, qu'elle laisse sonner longtemps.
applications favorites : instagram, spotify, afterlight, uber eats.
3 derniers contacts : ari, baby, clarke.
réseaux sociaux : instagram, snapchat, whatsapp.
top 3 artistes spotify : lil nas x, gayle, labrinth.
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aime : danser - ofc - poster sa vie sur instagram, semer ses gardes du corps, traîner avec eux, neige, son frère, sa nièce, faire tourner les têtes et les gens en bourrique, les hommes, qu'on pense à elle - sincèrement.
n'aime pas : le chemin qu'ont tracé ses parents pour elle, le monde du commerce, être surveillée quoi qu'elle fasse, qu'on lui dise non.
films préférés : la grand bleu.
séries préférées : euphoria.
plat favori : les pancakes.
dernier achat : une nuisette en soie - dont elle n'avait absolument pas besoin, mais qu'elle a acheté seulement pour s'amuser du regard de clarke lorsqu'elle lui a demandé ce qu'il en pensait.

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CYNâge : vieille peau.
région : bdr, france.
où as tu connu le forum : discord, me semble-t-il.
commentaires : le mal, pour me pousser au dédoublement franchement.
connexions : le plus possible, tous les jours normalement.